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MAC	· Abréviation de Macintosh. · Préfixe utilisé dans la désignation des produits logiciels destinés aux ordinateurs Macintosh d’Apple.
MACBINARY	Protocole de transfert de fichiers Macintosh vers des ordinateurs non Macintosh, tout en conservant l’intégralité des données.
MACHINE 16 BITS (16-bit machine)	Ordinateur fonctionnant avec des données organisées en groupes de 16 bits. Un ordinateur sera considéré comme une machine 16-bit si son microprocesseur fonctionne en interne avec des mots de 16 bits ou si son bus de données peut transférer 16 bits simultanément. Exemples : Ordinateurs 80286.
MACHINE 32 BIT (32-bit machine)	Ordinateur fonctionnant avec des données organisées en groupes de 32 bits. Un ordinateur sera considéré comme une machine 32-bit si son microprocesseur fonctionne en interne avec des mots de 32 bits ou si son bus de données peut transférer 32 bits simultanément. Exemples : Ordinateurs avec processeur Intel 80386, i486 et Pentium.
MACHINE 64 BIT (64-bit machine)	Ordinateur fonctionnant avec des données organisées en groupes de 64 bits, ou 8 octets. Un ordinateur sera considéré comme une machine 64-bit si son microprocesseur fonctionne en interne avec des mots de 64 bits ou si son bus de données peut transférer 64 bits simultanément. Exemples : Alpha AXP (DEC), station de travail Ultra (Sun Microsystems), et PowerPC 620 (IBM).
MACHINE VIRTUELLE (Virtual machine)	· Environnement créé par le système d’exploitation et le processeur qui simule l’ensemble des ressources d’un ordinateur. Un programme voit la machine virtuelle comme un ordinateur à part entière. · Logiciel simulant le fonctionnement d’un dispositif matériel.
MACINTOSH	Nom d’une famille d’ordinateurs créée par Apple Computer. Il s'agit de l’un des premiers ordinateurs personnels à incorporer une interface graphique, et le premier à utiliser des disquettes de 3 pouces 1/2.
MAC OPERATING SYSTEM	Voir "Mac OS".
MAC OS (Mac operating system)	Nom donné au système d’exploitation du Macintosh.
MACRO	· Dans les applications, ensemble de frappes de touches et d’instructions enregistré sous un nom et que l’on peut rappeler et exécuter par un raccourci-clavier ou par le nom attribué. · Dans les langages de programmation comme le C ou le langage assembleur, nom qui définit un ensemble d’instructions. Ces instructions s’exécutent lorsque le nom de la macro apparaît dans un programme, lorsque le programme est compilé ou assemblé. Une macro est comparable à une fonction car elle prend des arguments et représente plusieurs instructions.
MACROORDINATEUR (Mainframe)	Ordinateur traitant les opérations de plusieurs centaines d’utilisateurs. Sa capacité de stockage est généralement très importante.
MACRO VIRUS	Virus écrit dans un langage macro associé à une application. Il est apporté par un fichier document utilisé par l’application et il s’exécute à l’ouverture du document.
MacTCP	Extension Macintosh permettant aux ordinateurs Macintosh d’utiliser TCP/IP.
MADI (Multi-channel audio digital interface)	Interface numérique destinée à véhiculer sur un seul câble 56 canaux audio au format AES/EBU.
MAE (1) (Macintosh application environment=	Interpréteur de commandes du système dans un environnement d'applications Macintosh. Il procure au Macintosh une interface X Window qui est compatible Mac et Unix et supporte tous les produits pour Macintosh.
MAE (2) (Metropolitan area exchange)	Point d’interconnexion pour les fournisseurs d’accès Internet dans une agglomération. Les données envoyées entre des participants d’une MAE peuvent passer directement d’un réseau à l’autre sans transiter par une dorsale principale
MAILBOMB	Voir "Bombe e-mail".
MAILBOT	Programme répondant automatiquement aux messages du courrier électronique ou réalisant des actions fondées sur des commandes se trouvant dans les messages.
MAILBOX	Voir "Boîte aux lettres".
MAILING	Voir "Publipostage".
MAILLAGE	Architecture réseau permettant à tous les noeuds d’avoir accès (directement ou indirectement) à n’importe quel autre noeud, et de disposer pour atteindre un autre noeud de plusieurs chemins d’accès possibles.
MAILTO	Protocole de désignation utilisé dans le HREF d’un hyperlien, permettant à un utilisateur d’envoyer un courrier à quelqu’un.
MAINBOARD	Voir "Carte mère".
MAINTENANCE (Maintenance)	Toute mesure prise pour qu’un matériel, un logiciel, ou un système de base de données fonctionne correctement et soit mis à jour.
MANAGER (Gestionnaire)	Nom désignant différentes parties d’un système d’exploitation (File Manager pour le gestionnaire de fichiers ou Memory Manager pour legestionnaire de mémoire).
MANCHE A BALAI (Joystick)	Périphérique d’entrée, de type levier de commande, inclinable dans toutes les directions, s’utilisant pour les jeux.
MANETTE DE JEU (Paddle)	L’un des premiers types de périphérique d’entrée utilisé pour les jeux informatiques. Elle permet de déplacer latéralement ou de haut en bas un objet à l’écran. Ce dispositif est différent du joystick, car il n’autorise qu’un mouvement sur un seul axe.
MAN-MACHINE INTERFACE	Voir "Interface homme-machine".
MAN PAGES	Documentation en ligne concernant les commandes et les programmes UNIX ainsi que les fonctions des bibliothèques UNIX utilisables dans les programmes en C. Ces documents peuvent être affichés sur la station par la commande man (abréviation de « manuel »).
MAPI (Messaging application program interface)	Spécification d’interface de Microsoft permettant à différentes applications de messagerie et de groupe de travail de fonctionner au moyen d’une seule application cliente.
MAPPAGE (Mapping)	· Procédé consistant à convertir les données codées dans un format en un autre format. · Dans l’organisation d’une base de données, l’index de la base de données permet de « mapper « les enregistrements de données sur l’écran d’affichage (données conservées sur le disque dur de manière figée) selon la meilleure utilisation. · Dans le gestionnaire de licence Windows NT, liste des relations entre des utilisateurs et des ordinateurs dans des groupes de licences. · Dans l’explorateur Windows lien entre une lettre de lecteur et un lecteur réseau. · Dans le protocole TCP/IP, relation entre un nom d’hôte ou d’ordinateur et une adresse IP utilisée par des serveurs de nom DNS et NetBios sur des réseaux TCP/IP.
MARGE (Margin)	Partie blanche du bord d’une page.
MARGIN	Voir "Marge".
MARK I	· Machine de calcul électromécanique conçue à la fin des années 30 · Premier ordinateur entièrement électronique, à programme enregistrable. · Premier ordinateur commercial sorti au début des années 50.
MARQUE (Mark)	· Dans les applications et dans le stockage des données, symbole ou autre dispositif qui distingue un élément d’autres éléments analogues. · Dans une transmission numérique, état (positif ou négatif) d’une ligne de communication qui correspond à un 1 binaire. Dans les communications série asynchrones, transmission continue de 1 binaires pour indiquer quand la ligne est inoccupée (ne transmet pas d’information). Dans le contrôle d’erreur asynchrone, l’établissement du bit de parité à 1 dans chaque groupe de bits transmis constitue la marque de parité. · Dans la détection optique, trait qui peut être reconnu par un lecteur optique.
MARQUE DEPOSEE (Trademark)	Mot, expression, symbole ou logo utilisé pour identifier un produit déposé.
MARQUEUR (Marker)	· Partie d’un signal de communication qui permet au matériel de reconnaître la structure d’un message. Par exemple, les bits de début et de fin définissent un octet dans une communication série asynchrone. · Symbole indiquant une localisation particulière sur une surface d’affichage.
MASQUE (Mask)	Grille permettant d’afficher certaines données dans certaines zones et d’en cacher d’autres. Souvant employé dans les systèmes de gestion de base de données.
MATRICE (Matrix	· Disposition de lignes et de colonnes utilisée pour organiser des éléments en relation, tels que des nombres, des points, des cellules de feuille de calcul ou des éléments de circuit. · Ensemble de nombres disposés en tableau sur lesquels on effectue des opérations. · Elément permettant de disposer des ensembles de données sous forme de tableau, par exemple dans les feuilles de calcul.
MATRIX	Voir "Matrice".
MB	Voir "Méga-octet".
MBONE (Multicast backbone)	Petit ensemble de sites Internet, où tous peuvent transmettre de l’audio et de la vidéo en temps réel simultanément les uns avec les autres. Les sites Mbone sont équipés de logiciels particuliers pour envoyer et recevoir des paquets à grande vitesse en utilisant le protocole IP de multidiffusion un-à-plusieurs.
MCA (Micro channel architecture)	Type de bus développé par IBM en 1987 pour les PS/2.
MCI (Media control interface)	Partie de l’interface de programmation des applications Windows permettant à un programme de contrôler des périphériques multimédias.
MDI (Multiple-document interface)	Interface d’une application permettant à l’utilisateur d’avoir plusieurs documents ouverts en même temps.
MDIS (Metadata interchange specification)	Ensemble de spécifications gèrant l’échange, le partage et la gestion de métadonnées.
MEDIA	Tout support de stockage et de distribution des informations. Exemple : disquette, disque optique, papier, fibre optique, ...
MEGA	Préfixe multipliant l’unité qui le suit par un million (106). En informatique, avec la numérotation binaire, l’unité est multipliée par 220 (puissance de 2 la plus proche du million), soit 1 048 576.
MEGA-OCTET (Megabyte)	Unité représentant 1 048 576 octets ou bytes, soit 8 388 608 bits. Utilisé pour exprimer une capacité mémoire.
MEM	Voir "Mémoire morte".
MEMOIRE (Storage ou memory)	Dispositif destiné à stocker et à récupérer des informations. La mémoire peut concerner un stockage externe, sur lecteurs de disque ou de bandes par exemple. Elle concerne également un stockage rapide de type semi-conducteur (RAM) connecté directement au processeur.
MEMOIRE A BULLES (Magnetic bubble memory)	Mémoire formée par une série de bulles magnétiques sur une mince couche de film. Au contraire de la ROM, des informations peuvent être écrites dans la mémoire à bulles. À la différence de la RAM, les données écrites dans une mémoire à bulles sont conservées jusqu’à ce qu’elles soient modifiées, même si l’ordinateur est éteint.
MEMOIRE ADRESSABLE (Addressable memory)	Espace mémoire physique, adressable par un processus.
MEMOIRE A LECTURE/ECRITURE (Read/write memory)	Mémoire pouvant être à la fois lue et écrite. Exemple : La RAM.
MEMOIRE A TORES MAGNETIQUES (Core)	Type de mémoire intégré aux ordinateurs avant l’apparition de la RAM.
MEMOIRE BASSE (Low memory)	Mémoire conventionnelle sur les PC,correspondant aux 640 premiers Kilo-octets.
MEMOIRE CACHE	Voir "Cache".
MEMOIRE CENTRALE (Main memory)	Mémoire RAM de l’unité centrale de l’ordinateur.
MEMOIRE CMOS	Voir "RAM CMOS".
MEMOIRE CONVENTIONNELLE (Base memory)	Mémoire de 0 à 640 Ko réservée au système d'exploitation MS-DOS et de 640 Ko à 1023 Ko réservée au système.
MEMOIRE DE BASE	Voir "Mémoire conventionnelle".
MEMOIRE DE MASSE (Mass storage)	Terme générique désignant les supports de stockage de données (disques, bandes, disques optiques, ...). Elle peut stocker de grandes quantités de données par rapport à la capacité mémoire de l’ordinateur.
MEMOIRE DE TRAVAIL (Scratch)	Partie de la mémoire ou d’un fichier utilisée par un programme ou un système d’exploitation pour contenir momentanément un travail en cours. Généralement créée et prise en charge sans que l’utilisateur final le sache, la mémoire de travail n’est utile qu’à la session en cours et les données sont sauvegardées ou abandonnées à la fin de celle-ci.
MEMOIRE EDO	Voir "RAM-EDO".
MEMOIRE EMS	Voir "EMS".
MEMOIRE EN MODE PAGE (Page mode RAM)	Mémoire à accès aléatoire dynamique, conçue spécialement pour permettre l’accès séquentiel à des emplacements de mémoire en un temps réduit. Elle offre un grand intérêt pour la RAM vidéo, dans laquelle l’accès à chaque emplacement se fait par ordre croissant pour créer l’image écran. La RAM en mode page peut aussi accélérer la vitesse d’exécution du code, celui-ci ayant une tendance à s’exécuter séquentiellement dans la mémoire.
MEMOIRE ENTRELACEE (Interleaved memory)	Méthode d’organisation des adresses en RAM pour réduire les états d’attente. Les emplacements adjacents sont stockés dans différentes rangées de puces de sorte qu’après avoir accédé à un octet, le processeur n’a pas à attendre un cycle de mémoire complet avant d’accéder au prochain octet.
MEMOIRE ETENDUE (Extended memory)	Mémoire au-delà de 1 Mo sur les ordinateurs de la série Intel 8086. Elle n’est accessible que lorsqu’un processeur 80386 ou supérieur opère en mode protégé. Pour utiliser de la mémoire étendue, les programmes MS-DOS ont besoin d’un logiciel qui place temporairement le processeur en mode protégé ou qui utilise les fonctionnalités des processeurs 80386 et supérieurs pour mapper des parties de la mémoire étendue en mémoire conventionnelle. Les programmes qui fonctionnent sous Microsoft Windows, OS/2 et d’autres systèmes d’exploitation, qui s’exécutent sur les processeurs Intel et utilisent le mode protégé des processeurs 80386 et supérieurs, peuvent accéder à toute la mémoire du système de la même manière.
MEMOIRE FANTOME (Shadow memory)	Technique du BIOS utilisée dans certains ordinateurs pour copier les routines ROM BIOS du système vers une section inutilisée de la RAM au démarrage. Elle améliore le fonctionnement du système.
MEMOIRE FLASH (Flash memory)	Type de mémoire inventé par Intel. Ces cartes mémoire non volatiles se sont pas affectées par les coupures de courant. À l’origine conçue pour les portables, la mémoire flash remplace aujourd’hui les ROM dans de nombreux systèmes.
MEMOIRE HAUTE (High memory)	Mémoire située entre 640 Ko et 1 Mo, utilisée par le BIOS et par certains périphériques, en particulier l’écran. Des pilotes de périphériques peuvent être placés dans les zones libres de la mémoire supérieure.
MEMOIRE LINEAIRE (Flat memory)	Type de mémoire reconnu par un programme comme un grand espace adressable, qu’il soit composé de RAM ou de mémoire virtuelle.
MEMOIRE LOCALE (Local memory)	Dans un système à multiprocesseurs, mémoire se trouvant sur la même carte ou le même bus haute vitesse qu’un processeur donné. La mémoire locale d’un processeur n’est pas accessible par un autre sans permission.
MEMOIRE MORTE (Read-only memory)	· Circuit semi-conducteur dans lequel du code ou des données sont installés de façon permanente au moment de la fabrication. L’emploi de cette technologie n’est économiquement viable que si les puces sont produites en grande série. Pour des expériences ou pour de petits volumes, il faut mieux des PROM ou EPROM. · Tout circuit semi-conducteur servant de mémoire et contenant des instructions ou données écrites une seule fois, lues de nombreuses fois.
MEMOIRE NON PAGINEE (Nonexpanded memory)	Sous Windows NT, mémoire ne pouvant pas être transférée dans le fichier d’échange.
MEMOIRE NON VOLATILE (Nonvolatile memory)	Système de stockage évitant la perte des données lorsque l’alimentation électrique est coupée. Exemple : ROM, EPROM, mémoire flash, mémoire à bulles, ...
MEMOIRE PAGINEE (Expanded memory)	· Mémoire de 8 Mo au maximum pouvant être ajoutée à un PC. Son utilisation est définie par la spécification de mémoire paginée EMS. Elle n’est pas accessible directement aux programmes MS-DOS ; c’est pourquoi le Gestionnaire de mémoire paginée (EMM) mappe des pages (blocs) d’octets de la mémoire paginée pour les placer dans des zones mémoire accessibles (page frames). · Dans le contexte UNIX, le terme paginé correspond au concept de swap.
MEMOIRE PHYSIQUE (Physical memory)	Mémoire effectivement présente dans le système par opposition à la mémoire virtuelle.
MEMOIRE PROM (Programmable read-only memory)	Type de mémoire morte dans laquelle on peut écrire une seule fois au moyen d’un programmateur de PROM.
MEMOIRE TAMPON (Buffer storage)	· Zone réservée de la mémoire où les données sont stockées temporairement avant d’être transférées vers un périphérique ou un autre emplacement de la mémoire. · Zone de stockage utilisée pour contenir des données à transmettre à un autre dispositif non synchronisé avec le précédent ou présentant une vitesse de transfert différente.
MEMOIR TAMPON DU CLAVIER (Keyboard buffer)	Zone de la mémoire enregistrant un certain nombre de caractères tapés au clavier, même si l’ordinateur semble ne pas répondre immédiatement aux sollicitations de l’utilisateur.
MEMOIRE VIDEO (Video memory)	Mémoire à partir de laquelle se crée une image à l’écran ; elle est située sur la carte vidéo ou le sous-système vidéo. Comme le processeur vidéo et le microprocesseur ont simultanément accès à la mémoire vidéo, les images résultent de la modification de la mémoire vidéo par le microprocesseur.
MEMOIRE VIRTUELLE (Virtual memory)	Ensemble des ressources de type mémoire accessible par le système d’exploitation ou par une application. La mémoire virtuelle se compose de mémoire vive (RAM) et d’une extension sur disque sous forme de fichier d’échange (SWAP). Ce mécanisme permet de diminuer le coût en mémoire vive dans un ordinateur, au détriment de la vitesse d’exécution des applications.
MEMOIRE VIRTUELLE DE L'IMPRIMANTE (Printer virtual memory)	Sur une imprimante PostScript, partie de la mémoire stockant les informations relatives aux polices. La mémoire des imprimantes PostScript est divisée en deux parties : la mémoire des pages et la mémoire virtuelle. La première contient des informations relatives aux graphismes et à la mise en page pour imprimer les documents. La mémoire virtuelle contient toutes les informations liées aux polices envoyées à l’imprimante lorsqu’on imprime un document ou que l’on télécharge des polices.
MEMOIRE VIVE (Random access memory)	Mémoire semi-conductrice pouvant être lue et écrite de nombreuses fois par le microprocesseur ou d’autres dispositifs matériels. Les zones de stockage sont accessibles dans n’importe quel ordre.
MEMOIRE VOLATILE (Volatile memory)	· Mémoire perdant ses données lorsque le courant est interrompu (exemple : RAM) · Mémoire utilisée par un programme et qui peut changer indépendamment du programme (exemple : mémoire partagée par un autre programme ou par une routine de service d’interruption).
MEMORY SLOT	Emplacement de la carte mère où des modules mémoire peuvent être insérés. Dans l’usage, on utilise parfois aussi le terme banc de mémoire.
MENU	Liste d’options dans laquelle un utilisateur effectue une sélection pour exécuter une action souhaitée. De nombreuses applications, particulièrement celles qui possèdent une interface graphique, font appel à des menus pour apporter à l’utilisateur une alternative simple et facile à la mémorisation de commandes de programmes et à leur usage approprié.
MENU CONTEXTUEL (Context-sensitive menu)	Menu apparaîssant à la suite d’un clic droit, le pointeur se trouvant dans une zone de l’écran. Un menu contextuel liste les commandes qui s’appliquent directement à l’objet sur lequel on a cliqué.
MENU DEROULANT (Drop-down menu)	Dans une interface utilisateur graphique, menu apparaissant à l’écran lorsqu’un utilisateur clique sur l’intitulé du menu dans la barre de menus ou avec le bouton droit de la souris. Il disparaît, en général, lorsque l’utilisateur sélectionne un élément dans le menu.
MESSAGE	· Dans les communications, unité d’information transmise électroniquement d’un dispositif à un autre. Il peut contenir un ou plusieurs blocs de texte aussi bien que des caractères de début et de fin, des caractères de contrôle, un en-tête généré par le programme, et des informations de vérification ou de synchronisation. Un message peut être envoyé directement depuis l’expéditeur vers le destinataire par un lien matériel, ou être envoyé, en entier ou en partie, à travers un système de relais qui l’oriente d’une station intermédiaire à une autre. · Dans les environnements interconnectés, unité d’information transmise entre les programmes en fonctionnement, certains périphériques du système, et l’environnement de travail lui-même. · Dans un logiciel, information passant depuis l’application ou le système d’exploitation vers l’utilisateur pour suggérer une action, indiquer une condition, ou annoncer qu’un événement s’est produit.
MESSAGE D'ERREUR (Error message)	Message envoyé par le système ou le programme, indiquant qu’une erreur est survenue et qu’elle requiert une solution.
MESSAGERIE ELECTRONIQUE (Electronic mail)	Transmission de messages par un réseau de communications (ordinateurs en réseau local ou distants reliés par un modem).
MESSAGING APPLICATION PROGRAMMING INTERFACE	Voir "MAPI".
METACARACTERE (Metacharacter)	Caractère incorporé dans un programme source ou dans un flux de données apportant une information sur les autres caractères. Exemple : Caractère barre oblique inverse (\ ) qui, lorsqu’il est placé dans les chaînes du langage de programmation C, indique que la lettre qui suit est une partie d’une séquence d’échappement qui permet au langage C d’afficher un caractère non graphique.
METACOMPILATEUR (Metacompiler)	Compilateur produisant des codes source. Si on lui donne une spécification de langage, il peut produire le code source d’un compilateur correspondant à ce language. Exemple : Utilitaire UNIX YACC.
METADONNEE (Metadata)	Donnée concernant un ensemble de données. Exemple : Le titre, le sujet, l’auteur et la taille d’un fichier.
METAFICHIER (Metafile)	Fichier contenantt ou définissant d’autres fichiers. De nombreux systèmes d’exploitation utilisent des métafichiers pour regrouper les informations sur d’autres fichiers d’un périphérique de stockage donné.
METAFILE	Voir "Métafichier".
METALANGAGE (Metalanguage)	Langage employé pour décrire d’autres langages. Le métalangage couramment utilisé pour définir des langages de programmation est BNF (Backus-Naur Form).
METAMOTEUR (Metasearch)	Site Internet ou utilitaire capable d’envoyer des requêtes à plusieurs sites à la fois. Le moteur de recherche évolué recherche dans des moteurs classiques qui entrent alors en action. Exemple : DogPile est un logiciel métamoteur qui permet de définir l’ordre d’entrée en action de 25 moteurs.
METASYSTEME D'EXPLOITATION (Metaoperating system)	Système d’exploitation permettant l’activation de plusieurs autres systèmes d’exploitation.
MFLOPS (Million of floating-point operations per second)	Mesure de la vitesse d’un ordinateur en million d’opérations en virgule flottante par seconde.
MFS (Macintosh file system)	Ancien système de fichiers utilisé par le Macintosh, avant l’introduction du système hiérarchique de fichiers.
MGET (Multiple get)	Commande de la plupart des clients FTP par laquelle un utilisateur demande le transfert de plusieurs fichiers.
MHS (Message handling system)	Système de messagerie conçu pour distribuer des messages structurés arbitrairement.
MHTML (Multipurpose internet mail extensions HTML)	Format de messages e-mail conçu pour envoyer et recevoir des pages au format HTML. Il permet d’envoyer et de recevoir des pages Web qui proviennent de l’Internet ou d’un intranet.
MHz	Voir "Mégahertz".
MICROCIRCUIT	Circuit électronique miniaturisé tel que ceux qui sont gravés sur des couches de germanium ou de silicium, caractéristique des microprocesseurs et des autres produits de l’industrie des semi-conducteurs. Il est constitué de transistors, de résistances et d’autres composants interconnectés. Il est fabriqué comme un tout, à la différence d’un ensemble de tubes à vide ou d’autres éléments reliés par des fils.
MICROCODE	Code de très bas niveau définissant la manière de travailler d’un processeur. Il est de niveau inférieur au code machine et spécifie ce que doit faire le processeur lorsqu’il exécute une instruction en code machine.
MICROMISATION (Downsizing)	Fait de réduire une infrastructure informatique tout en conservant son niveau de service. Avec le perfectionnement des machines, beaucoup d’entreprises réduisent la taille de leurs serveurs pour une même efficacité.
MICRO-ORDINATEUR (Microcomputer)	Ordinateur muni d’un microprocesseur comportant des mémoires et des circuits d’entrée/ sortie.
MICROPHONE	Dispositif convertissant les ondes sonores en signaux électriques analogiques. Un matériel supplémentaire peut convertir les sorties du microphone en données numériques qu’un ordinateur peut traiter. C’est le cas lorsque l’on enregistre des documents multimédias ou lorsque l’on analyse un signal sonore.
MICROPROCESSEUR (Microprocessor)	Unité centrale sur une seule puce. Il peut comporter plusieurs millions de transistors dans un circuit intégré de deux cm de côté et constitue le coeur d’un micro-ordinateur. En lui ajoutant de la mémoire et une alimentation électrique, on dispose alors de tous les constituants d’un ordinateur, à l’exclusion des périphériques. Un microprocesseur, composant principal d’un ordinateur, interprète et exécute les directives d’un programme. Il dirige les fonctions d’entrée, de sortie et les périphériques de stockage au moyen d’instructions définies par les programmes. Les familles de microprocesseurs les plus connues sont les 80x86 et Pentium (sur les PC), les 680x0 (sur les Macintosh) et les PowerPC (Macintosh et PC).
MICRO - PROGRAMMATION (Microprogramming)	Écriture de microcode pour un processeur. Certains systèmes, principalement les mini-ordinateurs et les gros systèmes, permettent la modification du microcode pour un processeur installé.
MIDDLEWARE	· Logiciel intermédiaire entre deux ou plusieurs types de logiciels conçu pour traduire les informations échangées entre eux. Il couvre un large spectre de logiciels et se place généralement entre une application et un système d’exploitation, y compris de réseau, ou un système de gestion de base de données. · Logiciel fournissant une interface commune de programmation d’applications (API). Les applications écrites avec cette API fonctionnent sur les mêmes systèmes que le middleware (Exemple : ODBC) · Outil de développement permettant à l’utilisateur de créer des programmes simples en sélectionnant des services existants et en les liant avec un langage de script.
MIDI (Musical instrument digital interface)	Interface générique permettant la connexion de synthétiseurs ou d’instruments de musique à des ordinateurs. MIDI est un langage de commande normalisé.
MIGRATION	Processus consistant à faire fonctionner des applications existantes et des données sur un ordinateur différent ou sous un autre système d’exploitation.
MIMD (Multiple instruction, multiple data streams)	Catégorie d’architecture d’ordinateur destinée au traitement parallèle. Des processeurs indépendants vont chercher les instructions et traitent les données indépendamment.
MIME (Multipurpose internet mail extensions)	Norme élargissant le protocole SMTP et permettant à des données (vidéo, son, fichiers binaires) d’être transmises par messagerie Internet sans qu’il soit nécessaire de les convertir au préalable au format ASCII. Ceci se réalise par l’emploi des types MIME qui décrivent le contenu d’un document. Une application conforme à MIME qui envoie un fichier (par exemple un programme e-mail) attribue un type MIME à ce fichier. L’application de destination doit aussi respecter la norme MIME ; elle se reporte à une liste de documents normalisés organisés en types et sous-types MIME pour interpréter le contenu du fichier. Le type MIME texte/html se réfère à un fichier qui contient du texte écrit en HTML. MIME fait partie de HTTP ; les explorateurs Web et les serveurs HTTP l’utilisent pour interpréter les fichiers e-mail qu’ils envoient ou reçoivent.
MINIATURISATION (Miniaturization)	Dans le développement de circuits intégrés sur une puce semi-conductrice, processus consistant à augmenter la densité en transistors et autres éléments, et à en réduire la taille. En dehors des avantages qu’offre une taille réduite, la miniaturisation des circuits électroniques diminue la consommation électrique, réduit la chaleur, et raccourcit les délais de propagation des signaux d’un élément du circuit au suivant.
MINI-ORDINATEUR (Minicomputer)	Ordinateur de puissance moyenne utilisé pour le traitement transactionnel ou comme interface entre un site central et des réseaux régionaux. Il peut réaliser des calculs complexes tout en travaillant efficacement à un haut niveau d’entrées et de sorties avec les utilisateurs connectés par des terminaux. Les mini-ordinateurs sont souvent en réseau entre eux et distribuent le travail entre toutes les machines reliées. Les mini-ordinateurs sont fréquemment employés dans des applications de transaction et comme interfaces entre les grands systèmes et les grands réseaux. Exemple :Mini-ordinateur AS 400 d'IBM.
MINITEL	Terminal videotex permettant d’accéder, via le réseau téléphonique, à des services (annuaires, presse, distribution, messageries, ...) implémentés sur des serveurs publics ou privés.
MISE A JOUR (Upgrade)	· Nouvelle version ou version améliorée d’un produit (logiciel, matériel, ...). · Nouvelle version d’un logiciel existant. Elle apporte de nouvelles fonctionnalités ou corrige les bogues de la version précédente. Elle est généralement indiquée par de petites modifications dans les numéros de version (Exemple : 4.0b vient après 4.0).
MMX (Multimedia extensions)	Évolution du microprocesseur Pentium d'Intel, spécialement adaptée au multimédia, facilitant et accélèrant la gestion des sons et des images numériques.
Mo	Voir "Méga-octet".
MOA (Macromedia open architecture)	Architecture développée par Macromedia offrant des extensions de code dans le but d’améliorer les fonctionnalités des applications Macromedia.
MODEC	En télécommunications, dispositif génèrant numériquement des signaux de modems analogiques.
MODELISATION (Modeling)	· Description mathématique, faite à l’aide d’ordinateurs, d’une situation du monde réel ou d’un objet. · Description, faite à l’aide des mathématiques, d’objets physiques et éventuellement de leurs relations spatiales. Elle se fonde sur des équations pour créer des lignes, des courbes et d’autres formes, et placer celles-ci en relation les unes avec les autres dans l’espace bidimensionnel ou tri-dimensionnel pour lequel elles sont dessinées (Exemple : les programmes de CAO créent à l’écran des représentations d’objets physiques tels que des outils, des bâtiments, des molécules complexes, ...).
MODEM (MODulateur- DEModulateur)	Périphérique connecté à un ordinateur et à une ligne téléphonique, permettant la transmission de données numériques (informatiques) sur une ligne analogique (téléphonique). Lorsqu’on émet des données numériques sur la ligne, le modem module les données, c’est-à-dire les transforme de numérique en analogique. Lorsque l’on reçoit des données analogiques sur un ordinateur, le modem démodule. Les lignes analogiques peuvent être commutées comme dans le cas du Réseau Téléphonique Commuté (RTC) ou spécialisées.
MODEM EXTERNE (External modem)	Modem indépendant connecté par un câble au port série d’un ordinateur.
MODEM FAX (Fax modem)	Modem envoyant et recevant des données encodées au format fax (format fax du CCITT) qu’un télécopieur ou un autre modem décode et convertit en image. L’image doit être encodée au préalable sur l’ordinateur hôte. Les documents (textes et graphiques) se convertissent au format fax par un logiciel particulier généralement fourni avec le modem ; les documents papier doivent d’abord être scannés.
MODEM INTEGRE (Integral modem)	Modem faisant partie intégrante d’un ordinateur par opposition à un modem interne, monté sur une carte d’extension qui peut être retirée.
MODE MS-DOS (MS-DOS mode)	Environnement MS-DOS émulé par un système 32 bits comme Windows 95 et 98.
MODERATEUR (Moderator)	Animateur de groupe de discussion veillant à la bonne tenue de la discussion. En particulier, il filtre les contributions envoyées et rejette les messages qui ne sont pas conformes (agressifs, excessivement intolérants, grossiers, ...).
MODE SANS ECHEC (Safe mode)	Dans certaines versions de Windows, comme Windows 95, mode de démarrage où la plupart des pilotes et des périphériques sont déconnectés pour permettre à l’utilisateur de corriger un problème sur le système. L’ordinateur se met en mode sans échec si le système n’a pas été fermé correctement ou s’il a eu un problème au démarrage.
MODULATEUR - DEMODULATOR	Voir "Modem".
MODULATION	· Processus de changement ou de régulation des caractéristiques d’une porteuse d’ondes vibrant à une certaine amplitude et fréquence, pour que les variations représentent une information significative. · Dans la communication entre ordinateurs, conversion par modem d’une information numérique envoyée par un ordinateur sous forme audio sur une ligne téléphonique.
MONITEUR (Monitor or display)	Périphérique d’ordinateur permettant de visualiser les informations.
MONITEUR COULEUR (Color monitor)	Périphérique d’affichage vidéo destiné à fonctionner avec une carte vidéo ou un adaptateur pour produire du texte ou des images graphiques en couleur. À la différence d’un affichage monochrome, la face interne de son tube cathodique est recouvert d’une couche de phosphore constituée de points, colorés en rouge, vert et bleu quand ils sont frappés par un faisceau électronique. Pour créer les autres couleurs, les trois substances luminescentes sont excitées simultanément à différents degrés. Une carte vidéo fait appel à des groupes de bits (huit ou plus) pour décrire les couleurs et génère des signaux analogiques (continuellement variables), ce qui permet de générer une importante palette de couleurs sur un moniteur couleur.
MONITEUR RVB (RGB monitor)	Moniteur couleur recevant ses signaux sur des lignes distinctes pour les niveaux de rouge, de vert et de bleu. Il produit généralement des images plus fines et plus nettes que celles d’un moniteur composite recevant des niveaux de ces trois couleurs sur une ligne unique.
MONNAIE ELECTRONIQUE (Cybercash)	Principe d’un porte-feuille virtuel administré par une société, qui l’authentifie auprès des différents fournisseurs, et qui débite le compte bancaire réel de l’utilisateur.
MONOCHROME	Se dit d’un affichage dans une seule couleur (noir généralement) avec des nuances de gris obtenues en jouant sur la saturation et la luminosité.
MONOPHONIE	Procédé de transmission ou de reproduction des sons qui ne met en oeuvre qu’une seule voie électronique. Cela diminue la bande passante totale nécéssaire mais empêche toute localisation spatiale.
MORPHING	Processus selon lequel une image est progressivement transformée en une autre, ce qui crée une illusion de métamorphose survenant sur un temps très bref. Un logiciel calcule les étapes intermédiaires pour produire un ensemble d’images fixes ou une séquence vidéo.
MOSAIC	Premier navigateur graphique du World Wide Web qui ait acquis une large diffusion. Il a été conçu pour l’Internet au début des années 90. Il est disponible en freeware ou shareware pour les systèmes Windows, Macintosh et X Window. Il se distingue des premiers autres explorateurs du Web par sa facilité d’utilisation et par l’intégration d’images en ligne dans les documents Web.
MOT (Word)	Unité naturelle de stockage d’une machine particulière. Selon le microprocesseur, un mot peut être de 8, 16, 32 ou 64 bits.
MOT DE PASSE (Password)	Méthode de limitation des ouvertures de session sur les comptes d’utilisateurs et des accès aux systèmes et aux ressources. Le mot de passe consiste en une chaîne de caractères qui authentifie un utilisateur et correspond à des choix d’accès aux ressources.
MOTEUR (Engine)	Processeur ou partie d’un programme déterminant la façon dont le programme gère et manipule les données.
MOTEUR DE BASE DE DONNEES (Database engine)	Module ou ensemble de modules de programme fournissant un accès à un système de gestion de base de données.
MOTEUR DE RECHERCHE (Search engine)	· Programme recherchant des mots clés dans des documents ou des bases de données. · Sur l’Internet, programme recherchant des mots clés dans les fichiers et les documents du Web, des groupes de discussion, des menus Gopher, et des archives FTP. Certains moteurs de recherche sont utilisés sur un seul site Internet, comme moteur de recherche dédié à un site Web. D’autres recherchent sur de nombreux sites, en utilisant des agents tels que des spiders pour récupérer des listes de fichiers et de documents disponibles. Ils stockent ensuite ces listes dans des bases de données sur lesquelles les utilisateurs effectuent des recherches par mots clés. Exemple: Excite, Yahoo, Lycos, ...
MOTHERBOARD	Voir "Carte mère".
MOUCHARD (Sniffer)	Équipement surveillant les paquets transmis sur le réseau.
MOUSE	Voir "Souris".
MPEG (Moving pictures experts group)	· Ensemble de normes de compression audio et vidéo établi par le Joint ISO/IEC Technical Committee on Information Technology. MPEG offre une façon normalisée de compresser des films vidéos. · Fichier audio-vidéo au format MPEG. Son extension est .mpg ou .mpeg.
MPEG-1	Norme MPEG originelle pour stocker et récupérer des informations audio et vidéo. elle a été conçue pour la technologie CD-ROM et définit une bande passante jusqu’à 1,5 Mbps, deux canaux audio et un format vidéo non-entrelacé.
MPEG-2	Extension de la norme MPEG-1 conçue pour la diffusion télévision, y compris la télévision haute définition (TVHD). Il définit une plus grande bande passante, jusqu’à 40 Mbps, 5 canaux audio, une plus grande largeur de taille des images et un format vidéo entrelacé.
MPEG-3	Norme MPEG conçue à l’origine pour la télévision haute définition (TVHD). On a ensuite considéré que MPEG-2 convenait, c’est pourquoi ce standard n’existe plus.
MPEG-4	Norme en cours de développement conçue pour les vidéophones et les applications multimédias. Il fournit une bande passante plus basse, jusqu’à 64 Kbps.
MPPP (Multilink point-to-point protocol)	Protocole Internet permettant aux ordinateurs d’établir des liens physiques multiples pour combiner leurs bandes passantes. Cette technologie crée un lien virtuel qui offre davantage de capacité qu’un unique lien matériel.
MPUT	Commande utilisée par de nombreux clients FTP. Elle donne au client local les instructions pour transmettre des fichiers multiples au serveur distant.
MSCDEX (Microsoft CD-ROM extension)	Pilote MS-DOS permettant d’utiliser un lecteur de CD-ROM.
MS-DOS (Microsoft disk operating system)	Système d’exploitation permettant le fonctionnement d’un PC. Il est monotâche et mono-utilisateur et a été créé en 1981 par Microsoft pour le processeur 8086.
MSDOS.SYS	L’un des deux fichiers système installés sur un disque de démarrage MS-DOS. MSDOS-SYS contient le programme qui constitue le coeur (ou noyau) du système d’exploitation.
MSP (Message security protocol)	Protocole assurant la sécurité des messages Internet et reposant sur l’encryptage et la vérification. Il donne aussi les permissions au niveau du serveur pour la délivrance ou le rejet du courrier électronique.
MUD (Multiuser dungeon)	Environnement virtuel sur Internet où plusieurs utilisateurs participent simultanément à un jeu de rôles ou d’aventures inspiré de Donjons et Dragons, en temps réel.
MULTICOUCHE (Multilayer)	· Se dit d’une carte ou d’un circuit imprimé formé de plusieurs couches (conception en sandwich). Chaque couche distincte possède ses propres lignes métalliques pour assurer les connexions électriques entre les différents composants électroniques et avec les autres couches. Les couches sont laminées ensemble pour produire une carte unique à laquelle sont fixés des composants tels que des circuits intégrés, des résistances et des condensateurs. La conception en multicouche permet beaucoup plus de liaisons distinctes entre composants que dans le cas des cartes mono-couches. · Dans la conception assistée par ordinateur (CAO), se dit des dessins conçus sur plusieurs couches, chacune ayant un niveau de détail particulier ou un objet différent, de façon à ce que les différentes parties des dessins puissent être manipulées, superposées, ou séparées.
MULTIFINDER	Version du Finder du Macintosh permettant à plusieurs applications de se trouver simultanément en mémoire. Un clic de la souris fait passer d’une application à l’autre et l’on peut copier des informations entre applications. Si l’application active fait du vrai multitâche, alors les tâches en arrière-plan peuvent s’exécuter.
MULTIMEDIA	Intégration de toute combinaison de graphiques, sons, vidéos et textes sur un support. L’utilisateur peut se déplacer de manière interactive et non linéaire pour permettre des associations entre différents sujets.
MULTI PLATE-FORME (Cross-platform)	Se dit d’un logiciel ou d’un dispositif matériel pouvant être exécuté sur plusieurs plates-formes.
MULTIPLEXAGE (Multiplexing)	Technique mise en oeuvre dans les communications et les opérations d’entrée/sortie pour transmettre simultanément plusieurs signaux distincts sur un seul canal ou une seule ligne. Pour maintenir l’intégrité de chaque signal sur le canal, le multiplexage peut séparer les signaux dans le temps, dans l’espace ou en fréquence. Le dispositif qui le réalise est un multiplexeur.
MULTIPLEXEUR (Multiplexer)	Circuit sélectionnant une seule sortie à partir de plusieurs entrées.
MULTIPOSTAGE (Cross-post)	Copie d’un message ou d’un article de news d’un groupe de news, d’une rubrique de conférence, d’un système de messagerie ou de tout autre canal de communication vers un autre, par exemple d’un groupe de news de Usenet vers un forum Compu- Serve ou d’une messagerie vers un groupe de news. (c) 1998 Microsoft Press
MULTITACHE (Multitasking or multireading)	· Mode d’un système d’exploitation permettant à l’ordinateur d’accomplir plusieurs tâches simultanément. Un véritable système d’exploitation multitâche peut exécuter un nombre de tâches égal au nombre de processeurs qu’il contrôle. Lorsque le nombre de tâches est supérieur à celui des processeurs, l’ordinateur doit répartir le temps processeur de façon à ce que les processeurs disponibles consacrent une durée déterminée à chaque tâche, en alternant entre chaque tâche jusqu’à ce qu’elles soient toutes exécutées. · Dans la manipulation des données, technique où les noeuds d’une structure arborescente contiennent des pointeurs vers des noeuds hiérarchiquement plus élevés, afin de rendre plus efficace le parcours de la structure.
MULTI-UTILISATEUR (Multiuser)	Se dit d’un système comportant plusieurs terminaux reliés à un ordinateur plus puissant.
MUSICAL INSTRUMENT DIGITAL INTERFACE	Voir "MIDI".
MYLAR	Nom du film de polyester souvent utilisé comme substrat des supports magnétiques (disques et bandes), des rubans d’imprimantes.