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L4G
(Forth generation language)
Type de langage de programmation (appelé communément langage de 4ème génération) dont l’objectif est de ressembler au langage humain. Il est souvent employé avec des bases de données relationnelles. Les langages de ce type représentent une étape supérieure par rapport aux langages standards, tels que le C, le Pascal et le COBOL.
LAG Voir "Délai".
LAN
(Local area network)
Voir "Réseau local".
LANCEUR
(Launcher)
Sous le système d’exploitation Mac OS, programme qui organise les applications utilisées fréquemment en permettant à l’utilisateur de les exécuter par un simple clic.
LANGAGE ALGORITHMIQUE Voir "ALGOL".
LANGAGE ASSEMBLEUR
(Assembly language)
Langage de programmation de bas niveau qui utilise des abréviations ou des codes mnémoniques où chaque déclaration correspond à une seule instruction machine. Un langage assembleur est traduit en langage machine par l’
assembleur. Il est spécifique à un processeur donné. L’utilisation d’un langage assembleur présente l’avantage d’une vitesse d’exécution accrue et d’une interaction directe entre le programme et le matériel. On abrège souvent en «assembleur».
LANGAGE COMPILE
(Compiled language)
Langage traduit en code machine avant toute exécution, par opposition à un langage interprété, qui est traduit et exécuté instruction par instruction.
LANGAGE DE BAS NIVEAU
(Low-level language)
Langage proche du langage machine.
LANGAGE DE HAUT NIVEAU
(High level language)
Voir "Langage évolué".
LANGAGE DE PROGRAMMATION
(Programming language)
Langage qui sert à définir une séquence d’instructions qui peuvent au final être traitées et exécutées par l’ordinateur. On distingue deux grandes catégories de languages de programmation : les langages interprétés et les langages compilés.
LANGAGE DE QUATRIEME GENERATION Voir "L4G".
LANGAGE EVOLUE
(Advanced language)
Langage proche du langage humain, indépendant de la machine, et qui est dédié à certaines tâches. Les mots clés sont souvent en anglais et sont traduits en instructions de langage machine. Pratiquement tout langage informatique au-dessus du langage assembleur est un langage évolué.
LANGAGE HYBRIDE
(Hybrid language)
Langage qui comprend différentes méthodes de programmation. Par exemple, le C++ fait appel à la programmation par procédures et à la programmation orientée objet.
LANGAGE INTERPRETE
(Interpreted language)
Langage dans lequel des programmes sont traduits sous forme exécutable et sont exécutés instruction par instruction au lieu d’être traduits complètement avant l’exécution. Le BASIC
, le LISP et l’APL sont des langages interprétés, bien que le BASIC puisse aussi être compilé.
LANGAGE MACHINE Voir "Code machine".
LANGAGE NATIF
(Native language)
· Language machine d’un microprocesseur.

· Language de haut niveau spécifique d’un système d’exploitation avec ses routines (boîte à outils) et ses systèmes de développement natifs.

LANGAGE ORIENTE OBJET
(Object-oriented programming language)
Langage de programmation qui manipule des objets, entités discrètes qui ont leurs propres structures de données, et des routines qui interagissent avec d’autres objets.
LANGAGE PROCEDURAL
(Procedural language)
Langage de programmation dans lequel l’élément de programmation de base est la procédure. Les langages de haut niveau les plus utilisés (C, Pascal, BASIC, FORTRAN, COBOL) sont tous des langages procéduraux.
LANGAGE UNIVERSEL
(General-purpose language)
Langage de programmation tel que Ada, BASIC, C ou Pascal, conçu pour de nombreuses applications et utilisations. Par contraste, SQL est un langage prévu pour être utilisé spécifiquement avec les bases de données.
LAP
(Link access protocol)
Sous-ensemble de protocoles qui sert à gérer une transmission.
LASER
(Light amplification by simulated emission of radiation)
Matériel qui utilise des effets quantiques pour produire une lumière cohérente qui est transmise beaucoup plus efficacement que la lumière non cohérente, le faisceau lumineux étant peu dévié dans sa trajectoire. Le laser est utilisé en technologie informatique pour transmettre des données par câbles optiques, pour lire et écrire des données sur des CD-ROM et, dans le cas des imprimantes laser, pour placer une image sur un tambour photosensible.
LATENCE
(Latency)
Temps requis pour transmettre un signal d’un point à un autre d’un réseau.
LAYER Voir "Couche".
LAYOUT Voir "Disposition".
LCC
(Leadless chip carrier)
Méthode de montage des puces sur les cartes. Le dispositif comporte des contacts et non des logements pour les pattes, pour la connexion sur la carte.
LCD
(Liquid crystal display)
Voir "Affichage à cristaux liquides".
LECTEUR COMPRESSE
(Compressed drive)
Disque dur ou disquette dont la capacité apparente de stockage des données a été augmentée par l’intermédiaire d’un utilitaire de compression.
LECTEUR DE DEMARRAGE
(Boot drive)
Lecteur de disque d’un PC que le BIOS utilise pour charger automatiquement le système d’exploitation au démarrage de l’ordinateur. Il s’agit généralement, par défaut, du lecteur de disquette A. Si aucune disquette ne se trouve dans ce lecteur, le BIOS vérifie ensuite le disque dur principal, qui est le lecteur C. Ces options de démarrage sont définies dans le BIOS de l’ordinateur.
LECTEUR RESEAU
(Network drive)
Sur un réseau local, disque disponible pour les autres ordinateurs du réseau. L’accès à un lecteur réseau peut ne pas être attribué à tous les utilisateurs du réseau. Beaucoup de systèmes d’exploitation disposent de moyens de sécurité qui permettent à l’administrateur de réseau d’accorder ou de refuser l’accès à une partie ou la totalité d’un lecteur réseau.
LETTRE BOMBE
(letterbomb)
Message électronique destiné à interférer avec l’ordinateur du destinataire et son utilisation. Certaines séquences de caractères de contrôle peuvent bloquer un terminal. Les fichiers attachés au message peuvent contenir des virus ou des chevaux de Troie. Un message suffisamment grand peut saturer une boîte aux lettres ou provoquer le blocage du système.
LEXIQUE
(Lexicon)
· Recueil de mots avec leurs définitions.

· En programmation, ensemble des identificateurs, mots clés, constantes et des autres éléments qui constituent le « vocabulaire » d’un langage. La manière d’assembler ces éléments de vocabulaire constitue la syntaxe du langage.

LH
(Loadhigh)
Commande MS-DOS qui permet de placer un pilote ou un programme résident en mémoire haute.
LHARC Utilitaire de compression de fichier distribué en freeware. Le contenu d’un ou de plusieurs fichiers peut être compressé en un fichier spécifique, plus petit, avec l’extension .Iha. Une copie du programme est nécessaire pour décompresser ces fichiers. LHARC peut aussi ajouter un petit programme à l’information compressée et tout sauvegarder dans un fichier unique, appelé « archive auto-extractible », avec une extension .exe. Le destinataire du fichier compressé n’a pas besoin d’un utilitaire spécial pour décompresser le fichier.
LIAISON (1)
(Binding)
Processus qui établit le canal de communication entre un pilote de protocole (TCP/IP par exemple) et une carte réseau.
LIAISON (2)
(Link)
· Processus d’insertion d’un objet dans un document sous forme de code et non de données pour faciliter la mise à jour avec le document d’origine. Deux niveaux de liaison sont possibles : la liaison à froid et la liaison active.

· Dans un tableur, connexion des données entre une feuille de calcul dépendante qui utilisera les données et une feuille de calcul source, dans laquelle se trouvent les données d’origine. La feuille de calcul dépendante est mise à jour à chaque changement de données effectué dans la feuille de calcul source.

LIAISON SERIE
(Serial link)
Connexion entre un ordinateur et un périphérique, réalisée par le port série.
LIBRARY Voir "Bibliothèque".
LIEN
(Link)
Relation établie entre des modules appartenant à deux programmes différents de telle sorte que le premier programme puisse profiter des fonctionnalités du second. Lors de la compilation d’un programme écrit par exemple en language C, l’édition de lien assure la communication du programme généré avec le système d’exploitation.
LIEN DYNAMIQUE
(Dynamic binding)
Dans un programme, conversion des adresses symboliques en adresses relatives qui survient lors de son exécution. Le lien dynamique concerne souvent des applications orientées objet qui déterminent, durant l’exécution, les routines à appeler pour des objets particuliers.
LIEN HYPERTEXTE Voir "Hyperlien".
LIEN STATIQUE
(Static binding)
Dans un programme, conversion des adresses symboliques en adresses relatives qui se produit pendant la compilation ou le chaînage du programme.
LIGNE (1)
(Line)
· Câble ou ensemble de fils (lignes électriques, lignes téléphoniques) utilisé pour transmettre du courant électrique ou des signaux.

· En communication, connexion entre les dispositifs d’envoi et de réception

· Chaîne de caractères affichés ou imprimés en une seule rangée horizontale, dans un traitement de texte.

· Instruction qui occupe une ligne d’un programme. Dans ce contexte, on parle habituellement de ligne de programme ou de ligne de code.

LIGNE (2)
(Row)
Série d’éléments disposés horizontalement, telle une série continue de cellules dans une feuille de calcul, une ligne horizontale de pixels sur un écran vidéo ou un ensemble de valeurs alignées horizontalement dans un tableau.
LIGNE COMMUTEE
(Switched line)
· Connexion téléphonique standard

· Type de ligne établie lorsqu’un appel est routé par une station de commutation.

LIGNE D'INTERRUPTION
(Interrupt request line)
Ligne matérielle sur laquelle un périphérique, tel qu’un port d’entrée/sortie, un clavier ou un lecteur de disque, peut envoyer des interruptions (requêtes de service) au microprocesseur. Elle est intégrée à l’équipement interne de l’ordinateur et se voit attribuer différents niveaux de priorité de telle sorte que le microprocesseur peut déterminer les sources et l’importance relative des requêtes de services. Elle intéresse surtout les programmeurs traitant des opérations de bas niveau.
LIGNE NUMERIQUE
(Digital line)
Ligne de communication qui transporte des informations uniquement sous forme binaire. Pour minimiser les distorsions et les interférences, une ligne numérique utilise des répéteurs qui régénèrent périodiquement le signal pendant la transmission.
LINEFEED
(Saut de ligne)
Caractère de contrôle qui indique à un ordinateur ou à une imprimante de descendre d’une ligne, sans déplacer la position du curseur ou de la tête d’impression.
LINGO Langage de programmation orienté objet.
LINK Voir "Lien".
LINPACK Routine d’essai qui demande la résolution de 100 équations simultanées lors de tests d’une unité centrale, d’un processeur en virgule flottante, et des vitesses d’accès à la mémoire.
LINUX Version du noyau du Système V UNIX version 3.0 développée pour les PC à microprocesseurs 80386 et ultérieurs. Développé par Linus Torvalds  et d’autres collaborateurs à travers le monde, Linux est diffusé gratuitement avec son code source sur les BBS et l’Internet. Certaines entreprises en distribuent une version commerciale, accompagnée d’utilitaires compatibles. Le noyau de Linux fonctionne avec les utilitaires GNU.
LIPS
(Linear interferences per second)
Mesure de la vitesse de certaines machines en intelligence artificielle et de certains systèmes experts.
LIRE
(To read)
Transférer des données d’une source externe, telle qu’un disque ou le clavier, vers la mémoire ou de la mémoire vers le microprocesseur.
LISP Langage de programmation, développé à la fin des années 50. Il est principalement utilisé pour manipuler des listes de données. LISP est encore très employé dans les milieux universitaires et les centres de recherche. On le considère comme le langage standard dans la recherche sur l’intelligence artificielle.
LISSAGE
(Smoothing)
Technique logicielle de suppression du crénelage qui apparaît sur le contour d’une image graphique, principalement sur les courbes et diagonales, à l’écran ou à l’impression. Les méthodes utilisées sont soit l’ajout de niveaux de couleurs intermédiaires autour des pixels, soit la modification de la grille de pixellisation.
LISTE
(List)
Structure de données à éléments multiples qui répond à une organisation linéaire (premier, deuxième, troisième, etc.) et qui permet aux éléments d’être ajoutés ou retirés dans n’importe quel ordre. Les files d’attente et les piles sont des listes possédant des restrictions sur l’ajout ou le retrait d’éléments.
LITHIUM ION BATTERY Voir "Batterie au lithium".
LIVE Voir "En temps réel".
LIVECONNECT Système de communication entre applets Java et scripts Javascript.
LIVEWARE Voir "Wetware".
LOAD Voir "Charger".
LOCAL · En communication, se dit d’un dispositif qui opère sur de courtes distances un bureau ou un immeuble par exemple, contrairement à un dispositif distant.

· En programmation, se dit d’une variable qui ne s’utilise que dans une partie du programme (sous-programme, procédure ou fonction).

LOCATION Voir "Adresse".
LOGICIEL
(Software)
Programme informatique qui fait fonctionner le matériel. Il existe deux types de logiciels : les systèmes d’exploitation qui contrôlent le fonctionnement de l’ordinateur et les applications (traitements de texte, tableurs et bases de données), qui sont les principaux outils utilisés en bureautique. Il existe également des applications de dessin, de traitement de l’image, de traitement du son, ... Il existe deux autres catégories qui ne sont ni des systèmes d’exploitation ni des applications, mais qui contiennent des éléments des deux : ce sont les programmes réseau, qui permettent à des groupes d’ordinateurs de communiquer.
LOGICIEL BUREAUTIQUE
(Business software)
Application destinée principalement à une utilisation bureautique, par opposition aux utilisations scientifiques ou de divertissement. Les applications les plus connues sont le traitement de texte, le tableur, la base de données et les programmes de communication. Des logiciels plus spécifiques traitent également la comptabilité, la paye, la gestion financière, la gestion de projet et de décision, les données concernant les ressources humaines et la gestion des locaux.
LOGICIEL DE COMMUNICATION
(Communications software)
Logiciel qui contrôle le modem en réponse à des commandes de l’utilisateur. Il comprend généralement une émulation de terminal ainsi que des fonctionnalités de transfert de fichier.
LOGICIEL DU DOMAINE PUBLIC
(Freeware)
Logiciel libre de droits de reproduction et qui peut être librement copié et utilisé.
LOGICIEL GRATUIT
(Free software)
Logiciel distribué gratuitement aux utilisateurs qui sont, à leur tour, libres de l’utiliser, de le modifier, et de le distribuer, à condition que toutes les modifications soient clairement notées, et que le nom, et le copyright de l’auteur original ne soient ni modifiés, ni altérés d’aucune manière. Au contraire d’un graticiel qu’un utilisateur peut ou non être autorisé à modifier, un logiciel gratuit est protégé par une licence.
LOGICIEL INTEGRE
(Integrated software)
lLogiciel qui combine plusieurs applications : traitement de texte, tableur, grapheur, base de données et module de communication. L’intégration est réalisée de deux façons : d’une part, des données peuvent être transférées de l’une de ces applications vers une autre, ce qui aide les utilisateurs à coordonner des tâches et à fusionner les informations créées avec les différents outils du logiciel ; d’autre part, le logiciel intégré fournit une interface cohérente pour choisir les commandes, gérer les fichiers et les interactions avec les différents programmes de sorte que l’utilisateur n’a pas à maîtriser plusieurs programmes différents.

Exemple : Microsoft Works

LOGICIEL MAISON
(Homegrown software)
lLogiciel développé par un individu chez lui plutôt que dans un environnement professionnel. La plupart des programmes du domaine public et des partagiciels sont créés de cette manière.
LOGICIEL RESEAU
(System software)
lEnsemble des programmes et des données constituant le système d’exploitation.
LOGIN Voir "Logon".
LOGIQUE
(Logical)
Qui est fondé sur l’alternance des valeurs Vrai ou Faux, par opposition au calcul arithmétique qui opère sur des valeurs numériques. Lorsqu’elle est évaluée, une opération logique n’a que deux valeurs possibles : vrai(1) ou faux(0).
LOGIQUE FLOUE
(Fuzzy logic)
Forme de logique utilisée dans certains systèmes experts et d’autres applications d’intelligence artificielle dans laquelle les variables ont des degrés de vérité représentés par une gamme de valeurs situées entre 1 (vrai) et 0 (faux). Avec la logique floue, le résultat d’une opération peut être exprimé comme une probabilité plutôt qu’une certitude. Un résultat est probablement vrai, peut-être vrai, peut-être faux, ou probablement faux.
LOGO Langage de programmation dont les caractéristiques sont très proches de LISP. Il a été utilisé dans les années 80 pour enseigner la programmation, la logique et les mathématiques aux enfants. Langage essentiellement éducatif, Logo n’a pratiquement jamais pénétré le monde des applications professionnelles.
LOGON lProcessus qui permet de s’identifier à un ordinateur après y avoir ouvert une session par une ligne de communication. Le logon est généralement immédiatement suivi de la demande du nom d’utilisateur et de son mot de passe.
LOGER (SE) Voir "Ouvrir une session".
LOW MEMORY Voir "Mémoire basse".
LOW RESOLUTION Voir "Basse résolution".
LPT
(Line print terminal)
Nom logique de périphérique pour une imprimante en ligne. Le système d’exploitation MS-DOS utilise ce terme pour désigner les sorties parallèles d’un PC. Elles sont numérotées LPT1, LPT2, et LPT3. Une imprimante PC se branche en général sur une sortie parallèle.
LS-120 Lecteur de disquette capable de stocker 120 Mo sur une seule disquette souple de 3,5 pouces. Les lecteurs LS-120 sont aussi compatibles avec les autres formats de disquette.
LUDICIEL Voir "Ludo-éducatif".
LUDO-EDUCATIF
(Edutainment)
Se dit d’un logiciel multimédia dont l’objectif est de transmettre du contenu éducatif tout en divertissant l’utilisateur (apprendre en s’amusant).
LYNX Navigateur conçu pour les ordinateurs qui fonctionnent sous UNIX, où l’affichage ne peut comporter que du texte.